CANCAN trouve sa source autour de valeurs communes qui ont uni et rassemblé l’ensemble de ses membres. Fort de cette intransigeance, cet engagement sert à mettre la lumière sur des pratiques alternatives et frugales. En tenant compte de ces impondérables, le vote et la transversalité installent naturellement une certaine exigence, un garde-fou collectif.
Sans avoir peur de l’acte politique ou polémique, CANCAN remet en question la pratique de l’architecture dans sa globalité, ayant pour objectif de démocratiser cette dernière pour en faire une architecture citoyenne. Cette posture s’instaure à chaque étape du processus de création, favorisant l’artisanat et les techniques privilégiant le savoir-faire et la main d’œuvre, plutôt que l’investissement dans des produits ou des services industrialisés.
En choisissant de médiatiser ces prises de parti, la communication devient ici un faire-valoir. Les conférences, tables rondes, ou autres moyens institutionnels permettent alors d’insuffler un regard différent et participent à faire évoluer la société à sa manière.